La société marocaine AKWA, succédant à Total-Hydrocarbures et à ses stations en Mauritanie, fait l’objet de missions techniques actuelles. Selon un article de « Mourassiloun », une équipe se spécialise dans l’évaluation financière, tandis qu’une autre se concentre sur les ressources humaines à différents niveaux.Les sources non divulguées suggèrent que ces démarches pourraient être liées à la préparation de la cession de deux filiales mauritaniennes (MAURICRAB et MOURIGAZ) par AKWA à un nouvel investisseur, dont l’identité reste confidentielle.La première société est en possession depuis une décennie, tandis que la seconde a été acquise en février dernier. Toutefois, des experts estiment que ces deux entreprises, surtout la dernière, n’ont pas connu le succès escompté en Mauritanie. Les sources indiquent que ce problème découle principalement du manque d’expérience du groupe propriétaire dans la gestion des investissements hors du Maroc.L’article ne précise pas comment les autorités mauritaniennes perçoivent cette manœuvre de l’investisseur étranger sur un marché crucial. On s’interroge également sur l’impact potentiel sur les partenaires nationaux tels que les propriétaires de stations, les fournisseurs, les clients importants (comme Kinross Taziast), ainsi que sur les travailleurs mauritaniens et d’autres conséquences possibles.Bien que la Mauritanie ait adopté une politique libérale axée sur la privatisation des services au cours des dernières décennies, les changements fréquents de propriétaires d’entreprises majeures peuvent entraîner des perturbations dans l’économie nationale.
Le groupe marocain (AKWA – Afriquia) envisagerait la cession de ses succursales en Mauritanie : Quelles conséquences pour les acteurs locaux ?L
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